La miséricorde n'est pas tolérable.

Quand il y en a qui se pose la question de s’il faut être vertueux pour être heureux, Arès n’en a que faire de toute ces simagrées. La chose la plus importante quand il s’agit de la vie c’est de rester bien dans sa peau quoi qu’il arrive et ne pas chercher à ressembler à ce que les autres pensent de vous.

Arès l’a bien compris. D’un physique très avantageux, il ne cherche pas à se corrompre dans la vertu, il préfère laisser ça aux faibles d’esprit. De nature guerrière, il n’hésite en aucun cas à utiliser la violence si c’est une réelle nécessité ou alors si c’est simplement pour le plaisir. Bien qu’il soit le dieu de la guerre, il faut avouer qu’il ne possède pas la sagesse de sa sœur quant aux stratégies. Il va plutôt adapter une stratégie bestiale plutôt efficace de par sa force brute mais cela reste réellement bestial. La luxure fait  également partie de ses principales occupations, il aime enchaîner les conquêtes d’un soir ou plusieurs. S’il peut avoir les filles faciles en d’un seul regard, il préfère de loin les défis.

Pourtant il n’est pas tout noir, dans ce monde il y a deux êtres dans ce monde qui comptent assez à ses yeux pour qu’il daigne vouloir les protéger. Sa sœur Artémis qu’il apprécie le plus au monde et Amélia Williams son bras droit et sa disciple. Celle-ci est son élève, sa disciple, mais aussi et surtout la seule personne avec qui il arrive à se montrer doux et calme voir même clément.

Arès est le dieu de tous les guerriers, le dieu de tous les champs de bataille, le dieu de la guerre.

Mais pourtant il ne faut pas oublier qu’il y a 466 ans il n’était qu’un petit être, un puissant petit être. Dans ses yeux il n’était pas difficile de remarquer l'intensité de la puissance qui serait dans peu de temps son quotidien. Il eut une enfance plutôt normal pour un dieu, sans grande surprise on pouvait remarquer une certaine sauvagerie dans sa manière de faire ou de parler. Les combats étaient quelque chose de très important à ses yeux, c’était l’expression de sa puissance de sa suprématie mais aussi de sa virilité. Beaucoup commençaient à craindre sa colère qui pouvait arriver… N’importe quand. Mais surtout, tout le monde craignait sa force qui était largement supérieure à tout ce qui était connu dans ce monde. Mais même si sa force était un atout plutôt important il n’a jamais vraiment pu accepter que quelqu’un, aussi petit soit-il, lui fasse de l’ombre sur son terrain de jeu favoris : La guerre. Il vise tout particulièrement sa soeur Athéna, la déesse de la sagesse. Bien qu’il ne l’avouera jamais devant qui que ce soit, elle est la seule personne qu’il trouve digne d’être son adversaire. Car si lui c’était les bras, elle c’était la tête, vous penserez sûrement que c’est de la haine et… Oui c’est peut être et sûrement de la haine.

Quand il eut l'âge de comprendre dans quel but il avait été créé, ce qu’il allait devenir et surtout qui était réellement sa mère, il n’hésita pas un seul instant à suivre ses idées et ses convictions pour les mondes qu’elle avait sous son contrôle. C’est à peu prêt a cet âge qu’il goûta au plaisir du corps féminin et surtout qu’il y prit goût. Il faut dire qu’Arès est plutôt un dieu qui réagit en fonction de ses désirs de ses envies avant de réfléchir aux conséquences de ses actes. Il profite de sa force et de sa beauté pour pouvoir attirer des femmes de tous les horizons et profiter de leur chaleur le temps d’une nuit ou deux mais il se lasse très rapidement des femmes qu’il arrive à conquérir. Certaines personnes disent que le combat le plus difficile que l’homme aura dans sa vie c’est celui de chercher la femme qui fera en sorte qu’il n’en désire plus jamais une autre.

A l’âge de ses 50 ans, sa mère, Hel lui confia l’île de Banisis, Cette île se façon rapidement à l’image du dieu qui la contrôlait. Les fort pouvaient survivre alors que les faibles devaient mourir. Vous pensez que c’est démesuré ? Voir sadique ? Certainement. Mais au moins Banisis n’a jamais connu autant de puissants que sous le règne de Arès, force, sauvagerie et luxure. Les êtres qui vivaient sur son île étaient à son image et peut être voir pire pour certaine.

Après plusieurs combat, il remarqua que la technologie évoluant, il lui fallait modifier ses techniques de combat. Petit à petit il commença à faire des stratégies de combat bien plus vicieuses, combinant la force de ses guerriers avec les défaites et les victoires qu’il avait pu accomplir. Il étudia également les stratégies de sa soeur Athéna. Le dieu de la guerre ne pourrait pas tolérer l’idée qu’il pourrait perdre un combat car il n’avait pas su évoluer avec le temps.

Bien que son île est proche du vice et de la luxure, les armes et la technologie pour la guerre était un point clés et c’est grâce au travail de la population que Banisis qu’il peut rester à jour et même dans certains point en avance, bien que la partie sociale est toujours mise de côté.

Une rencontre forgea une partie du caractère actuel d’Arès, les sœurs Williams, il développa une “relation” bien distincte avec les deux filles, proche d'Amélia et distant de Haya. Mais pour une dieu qui aime les défis, ne croyez pas qu’il va laisser partir Haya comme ça. Cette dernière est une cible de choix et il a bien l’intention de la faire signe pour une nuit ou plus si affinité.